Idées reçues ou vérité que les sports en cas de rhumes sont bénéfiques ? Être sédentaire pendant sa maladie est, disons, un moyen plus vite de récupérer ? Voici les réponses pour vous.
Les maladies adéquates à des pratiques sportives
Les deux questions posées en dessus trouvent leur raison d’être, mais la réponse varie en fonction de la maladie. Il existe des maladies moins virulentes qui nous font supporter des mouvements modérés notamment : le nez qui coule ou bouché ou le rhume sans fièvre, le mal de gorge et même des maux de tête légers. Dans ces contextes, étant donné que l’activité sportive renouvelle nos oxygènes, cela permet probablement de renforcer la qualité de la respiration. De plus, en pratiquant nos sports à l’air libre, et au soleil, plus fréquemment, nous prenons de l’air frais et de la vitamine D. Le sport en tant qu’activité de distraction, nos libère aussi du stress qui est un des facteurs affaiblissant nos systèmes immunitaires.
Pas de sport, pour des maladies plus poussées
Il est logique qu’en cas de mal-être profond, on se lasse ou on n’arrive même pas à mener une activité sportive. Un sport pour certaines maladies risque d’aggraver notre état, car étant affaiblies, les ressources allouées au système immunitaire diminuent. Il s’agit des maladies tels les fièvres et frissons, les courbatures et fatigues, les difficultés respiratoires telles les bronchiolites, les toux et les maux localisés auprès de la tête, le ventre, etc. Mais même soutenable, évitez des sports collectifs en cas de maladie contagieuse.